Dans un état sécuritaire coupé du monde et du temps.
La société privée « La Veillance » braque ses caméras en permanence sur les faits et geste de la population. L’Image est devenue taboue. Les caméras civiles sont interdites. La presse indépendante est en voie de disparition. Seule subsiste une chaîne de télévision, LiberTV, qui n’a de libre que l’appellation.
C’est dans ce contexte que Vincent, reporter au chômage technique, est approché par un groupuscule contestataire, qui lui garantit la diffusion des images qu’il pourrait fournir. Lui vient l’idée de se servir des images de surveillance captées par La Veillance. Son ancienne compagne, archiviste au sein de cette société, lui fournit 24 heures de bandes.
Ce qu’il y découvre dépasse tout ce qu’il aurait pu imaginer.