14 février. Invitation à suivre ensemble ce jeune couple sur le chemin chaotique d une relation. Chronique d une narration amoureuse, aussi personnelle que collective.
L’aspect enflammé d’une passion amoureuse. Le film est un parti pris : l’histoire est racontée uniquement par la danse, la musique et la réalisation. La chorégraphie et la composition musicale deviennent alors
comme les dialogues du film. Du pur « show don’t tell ».
La façon dont nos vies sont interconnectées est au cœur de vos préoccupations ? Vous êtes-vous déjà demandé ce que pouvait voir un briquet lors d'une soirée trop arrosée ?
Si tel est le cas, ce film est fait pour vous !
L 'arrivée d'un évènement majeur va déclencher chez l'egotriper une introspection dépassant visiblement les préoccupations collectives. Il se comprend traqué, puis se découvre traqueur.
Dans cette quête intime, le temps propose souvenirs peut être réels, et projections internes allégoriques. Personne ne sort indemne d'un tel voyage.
Louis est veuf et n’arrive pas à traverser l’épreuve que représente le deuil, jusqu’à ce que,
lors d’une date importante pour lui, un événement imprévu le ramène vers la vie.
Une histoire de femme forte à la manière des années 80. Une vengeance, des flingues, des clopes et des peluches.
Léa décide de se lancer dans le monde du stream en animant des petits tutos de cuisine. La communauté grandissante lui apporte une certaine célébrité, mais aussi son lot de spectateurs toxiques. Ce film est inspiré d'une histoire vraie.
Lyon-Métrage L'émission est une série podcasts sur des sujets autour du cinéma.
Épisode 1 « La place de la femme dans le cinéma »
Depuis des mois, nous portons tous un masque à cause d'une pandémie et nous rêvons tous du jour où enfin nous pourrons l'enlever...
«Certains passent de bonnes soirées… D'autres non.»
Court-métrage apparaissant dans le LMCU Phase 1 (Lyon Métrage Cinématique Univers) qui est une série de sketchs tournés en 48 heures avec un casting et une équipe réduites dans un seul et même lieu. Le thème imposé était : Les expressions françaises.
"Et toi le dimanche tu fais quoi ?"
Court-métrage apparaissant dans le LMCU Phase 1 (Lyon Métrage Cinématique Univers) qui est une série de sketchs tournés en 48 heures avec un casting et une équipe réduites dans un seul et même lieu. Le thème imposé était : Les expressions françaises.
« C'est en rentrant plus tôt chez elle qu'elle découvre la vérité. »
Court-métrage apparaissant dans le LMCU Phase 1 (Lyon Métrage Cinématique Univers) qui est une série de sketchs tournés en 48 heures avec un casting et une équipe réduites dans un seul et même lieu. Le thème imposé était : Les expressions françaises.
Ah l'amour ! Notre MC Shepa arrivera-t-il a conquérir l'Arielle de ses rêves? Ou tout du moins réalisera-t-elle son fantasme ?
Marc est fan compulsif des stars des films américaines des années 80, ils aiment à reproduire des scènes de films dans son salon au détriment parfois de l'entente du couple. Sa femme essaye de le raisonner, mais est elle seulement indemne de ces mêmes symptômes ?
Ce film est une anthologie avec pour leitmotiv le fantastique et l'absurde...
L'humour y est très présent aussi, La zone du J'comprends rien fait explicitement référence à The Twilight Zone.
Mais ce qui est entre chien et loup cette fois-ci, c'est la tonalité du film à mi-chemin entre une parodie absurde irrévérencieuse et une lettre d'amour à la pop culture cinématographique.
Bob et John sont deux amis en colocation, pendant le confinement les journées s’enchaînent et peuvent paraître longues. Chacun a sa méthode pour passer le temps. Pour Bob et John, la solution, c’est de revisiter les jeux de société et d’y jouer sérieusement.
Qu'est ce qui le pousse à être violent ? La musique adoucit - elle les moeurs ?
Le dimanche comme pour beaucoup c'est repas en famille et ce dimanche ne déroge pas à la règle.
Un père essaye de faire un va et vient dans sa chambre mais n'arrive qu'à faire sauter les plombs empêchant sa fille de travailler. Elle décide de lui venir en aide pour finir cette ouvrage.
Un adolescent rend visite à son grand-père dans son Ehpad et lui fait écouter du rap avec auto-tune, ce qui va pousser le senior à lui donner en retour, une réponse sauce Rock'n roll.
Marie, dont le mari est désespéré par l’état de la planète, fait appel à son meilleur ami, Thomas, un prêtre, pour lui venir en aide. Ensemble, ils essayent de trouver une solution jusqu’à ce qu’un phénomène étrange vienne tout chambouler.
Dans un huis clos haletant, cinq personnes sont appelées à hériter de la somme colossale d’un parent éloigné. Arrivés chez le milliardaire, ils découvrent qu’ils doivent en réalité sélectionner, en une heure et à l’unanimité, la seule et unique personne qui figurera sur le testament. Rien de plus compliqué quand on est tous fauchés de faire un choix pareil. Le débat fait rage mais il prend rapidement une toute autre tournure.
Bienvenue dans un monde où la Révolution, la Dictature et la Liberté sont des personnages à part entière.
Dans cet univers, une équipe de journalistes essaye de suivre le quotidien de Révolution avec des interviews et différents témoignages.
Cependant, ce reportage aura des obstacles, il devra faire face à un trio sanguinaire peu recommandable et tenter de cerner les objectifs de la Révolution.
Quand on nous présente le pays comme une start-up et la valeur travail comme l'alpha et l'oméga, la frontière entre la vie et le travail devient mince. Pour les plus faibles, la frontière passe de mince à poreuse et quand on en vient à perdre son travail, l'idée de s'ôter la vie apparaît. Alors on se regroupe dans des endroits un peu isolés, entre inconnus. Les rencontres fortuites deviennent utiles, on s'entraide, on en vient à rêver, à partager, même une seconde avant la fin.
La privation, la faim, est quelque chose de terrible, une douleur que personne ne devrait avoir à ressentir. Le pire étant quand le monde semble se liguer contre vous et vous maintient dans cet état. Quand l’individualisme règne, l’égoïsme s’étend et le partage s’oublie... Peut-être.
Dans un monde où les inégalités entre les femmes et les hommes sont inversées, la Présidente de la République Française vient de nommer pour la première fois un Ministre de l’Egalité Hommes-Femmes. C’est l’occasion pour elle de revenir sur tous les points à améliorer pour lutter contre ces discriminations. Mais derrière les bonnes volontés n’y aurait-il pas un certain manque de lucidité, d’autocritique, voire de l’hypocrisie ?
Dans un futur proche ressemblant au notre, la guerre est générale. S'étendant à toutes les strates de la société, elle est partout et touche tout le monde. On va à la guerre comme on allait faire les trois huit à l'usine. Rien de plus normal pour ce jeune couple qui se croise entre deux batailles. On se raconte sa guerre et les morts comme une anecdote de boulot. La différence c'est que l'on se souhaite de revenir en vie en tachant de pas penser à demain.
Un flic devenu truand à perdu sa fille pendant une opération de police mené par son ancien collègue. Il décide prendre sa vengeance en séduisant la fille de son ancien ami afin de l'attirer dans un piège. Le règlement de compte ira bien plus loin qu'ils ne l'auraient imaginés.
Alors qu’elle s’apprête à se coucher, les problèmes vont s’accumuler pour Emma : son fils fait un cauchemar, sa meilleure amie se fait plaquer, son mari rentre saoul, … Bref l’univers semble avoir tout fait pour l’empêcher de fermer les yeux, et pourtant elle a besoin impérativement de dormir.
Nouveau Départ, une entreprise de l’ancien monde, sur le déclin, obligée de se convertir aux nouvelles mœurs : maintenant tout le monde a besoin de tuer, les maris leurs femmes, les femmes leurs maris, les parents leurs enfants, les animaux de compagnies…. un business rêvé pour cette équipe de tueurs à gages, prêts à tout pour faire marcher les affaires, non sans difficultés !
Dans un monde dystopique où la hiérarchisation des règles et des normes est dictatorial, où l'humain semble vivre seul par et pour lui même, où la plupart des contacts se résume à une interface numérique et l'intelligence, un couple de reproducteur est enfermé dans les quatre murs d'une chambre.
En allumant la radio, un caricaturiste apprend une terrible nouvelle, et soudain il n’arrive plus à dessiner, pris au piège du blocage de la page blanche et de ses peurs. Comment se sortir de ce cercle infernal ? Comment arriver à dessiner de nouveau ?
Suite à la maladresse de son collègue, un technicien essaye de réparer une lumière à l’entrée d’un tunnel. L’importance de celle-ci semble les faire stresser, car elle doit apparemment guider une personne inconnue.
Pour nous un choix est avant tout une réponse à une envie spontanée. A l'heure des applications mobiles, qui ne rêverait pas d'avoir un partenaire qui répond à tous nos désirs ? Nous avons traité cette idée de façon ironique et exagérée dans ce film.
Dans un état sécuritaire coupé du monde et du temps. La société privée «La Veillance» braque ses caméras en permanence sur les faits et geste de la population. L'Image est devenue taboue. Les caméras civiles sont interdites. La presse indépendante est en voie de disparition. Seule subsiste une chaîne de télévision, LiberTV, qui n'a de libre que l'appellation. C'est dans ce contexte que Vincent, reporter au chômage technique, est approché par un groupuscule contestataire, qui lui garantit la diffusion des images qu'il pourrait fournir. Lui vient l'idée de se servir des images de surveillance captées par La Veillance. Son ancienne compagne, archiviste au sein de cette société, lui fournit 24 heures de bandes. Ce qu'il y découvre dépasse tout ce qu'il aurait pu imaginer.
Dans un quartier résidentiel d'une ville française, l'annonce dans la presse de l'assassinat d'une jeune fille met la population en émoi. Face à un journaliste vénal venu recueillir à chaud le témoignage des habitants du quartier, chacun y va de ses peurs, de ses désillusions.
Une tueuse froide et déterminée, une folle échappée d'asile, ainsi qu'une jeune mariée éplorée et esseulée, se retrouvent le long d'une ligne de tram, un jour de grève.
La vie est un cycle. De l’enfance en passant par l’adolescence, l’âge adulte jusqu’à la vieillesse nos transports évoluent et on finit par choisir la facilité plutôt que pédaler dans la semoule.